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Archive journalière du 8 avr 2009

Le printemps au pot au noir

L’actualité culturelle du Trièves s’accélére. On passe à deux annonces par jour, ça devient fou !

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Le printemps arrive avec quelques spectacles dans ses valises…

Pour réserver c’est au 04 76 34 13 34 ou potaunoir@free.fr

Toutes les actualités du Pot au Noir sur potaunoir.com

Vendredi 17 et samedi 18 avril à 20h30 au Pot au Noir (38 – St Paul Les Monestier) -

Théâtre « 2-3 grammes… » par la cie Trio Mineur Ecriture et mise en scène : Bernard Falconnet, avec : Line Wiblé, costumes : Anne Jonathan, scénographie : Daniel Martin, création son : Frantz Parry, création lumière : Gaspard Mouillot

L’histoire d’un réveillon qui tourne mal, de trois soeurs très différentes, mais soeurs, d’un père dépassé, d’une mère à la vision brouillée par l’alcool, quoi d’autre… d’une famille à pleurer ou à rire, racontée et jouée par une comédienne seule en scène. Bernard Falconnet Auteur, metteur en scène

Buvette Restauration sur place (sur réservation)

Tarifs : 6 € : adhérent Pot au Noir / 9 € : sans emploi, professionnel du spectacle, étudiant / 12 € : plein tarif

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Mardi 21 avril à 18h30 au Pot au Noir (38 – St Paul Les Monestier)

Théâtre jeune public « Journal de Grosse Patate » par la cie Sud Est Théâtre Mise en scène : Mohamed Boumeghra, avec Marc Balmand, Marie Neichel, musique et chansons : Erwan Flageul, affiche et costumes : ValB, décors : Mohamed Boumeghra, construction des décors : Ateliers de la ville de Grenoble, costumes : Ateliers de la ville de Grenoble, secrétariat : Dominique Barrome L’histoire…

Grosse Patate, c’est le surnom qu’on lui donne, et ça parle tout seul. « C’est très embêtant d’aimer manger, parce que même en se cachant, ça finit toujours par se voir » Grosse Patate soliloque sur scène, accompagnée par l’homme en noir, qui lui fait raconter ses rêves. Elle évoque ses camarades de l’école, mais aussi sa vie de famille, la mort de sa mère… Parmi ses camarades il y a Rémi, alias « Rémilette », garçon efféminé que Grosse Patate est heureuse d’avoir pour bouc émissaire : « J’adore le battre. Ça me détend quand les autres m’ont embêtée ». Il y a Rosemarie, son amie-ennemie, et Hubert, dont tout le monde est amoureux, elle-même, Rosemarie et Rémi. Après avoir fait la paix avec Rémi, celui-ci lui avoue qu’il est amoureux d’Hubert. Elle veut en parler à son père, qui évacue la question. Grosse Patate conseille alors à Rémi de se défendre. Celui-ci la prend au pied de la lettre, et invente une armée secrète, dans laquelle il est général, et Grosse Patate Sous-sous-général. Rémi se sacrifie au football pour valoriser Hubert. Grosse Patate demande à son père de l’aider en maths, et celui-ci lui explique qu’ « on ne multiplie jamais les tomates par les bananes. Il faut laisser les tomates avec les tomates, et les bananes avec les bananes. » Premier texte du comédien et metteur en scène Dominique Richard, Le Journal de Grosse Patate porte un regard sensible sur la cruauté de l’enfance. Grosse Patate est le surnom que l’on donne à l’école à l’héroïne de cette histoire. Commence alors un journal intime, entre le monde de l’école, souvent cruel et les rêveries ou le discours à la lune. Dans ce monde d’écolier, il y a Rosemarie la timide, Rémi le souffre-douleur, Hubert dont tout le monde est amoureux. Entre tristesse, désespoir et petits bonheurs, les interrogations sensibles d’une petite fille. Un très beau texte à l’écriture fine et humaine.

Buvette sur place Tarifs : 6 € : enfant / 8 € : adulte

Le thé dansant du printemps…

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