http://www.dailymotion.com/video/xc467o
Rien à rajouter, explication limpide et implacable !
Européenne : Europe écologie 17%, Modem: 8.9% Total : 26.9%
Sondage régionales : Europe écologie 13%, Modem : 4% Total : 17% !!!
Bientôt mon explication détaillée sur cette nouvelle stupéfiante et consternante : http://www.metrofrance.com/info/regionales-reglements-de-comptes-a-ok-modem/mjbe!m1n2bwhsVzXsI/
oui, arnaud, je te prie de poursuivre tes investigations, car grâce à tes informations précieuses, nous sommes bien mieux éclairés sur la vrai réalité de notre planète, et tu nous dévoiles les mécanismes des rouages du fonctionnement de notre société, ce dont nous ne te remercierons jamais assez.
On en apprend de belles sur le dodiblog !!!
Ce n’est rien à côté de la nouvelle ci-dessous qui me consterne !
06 février 2010 – 12:02 swissinfo.ch
Les gaufrettes Kägi-fret rachetées par la société zougoise WM15
Lichtensteig (SG) – L’entreprise st-galloise Kägi Söhne, qui produit les Kägi-fret, change de mains à nouveau. La société de participations européenne Argos Soditic l’a vendue à une autre société de participations: la zougoise WM15 détenue par le groupe de tabac argovien Burger Söhne.
La vente n’impliquera pas de gros changements pour les plus de 70 employés et la marque conservera son nom, a indiqué Kägi Söhne. L’acquéreur compte donner à la fameuse gaufrette enrobée de chocolat l’accès à de nouveaux marchés et canaux de distribution.
WM15 achète, gère et revend des marques actives dans la grande consommation mais qui proposent des produits de niche.
Kägi Söhne, qui existe depuis 75 ans, écoule déjà ses gaufrettes dans 25 pays: en Suisse, mais aussi en Allemagne, en Autriche, au Moyent-Orient et en Asie. Elle exporte un tiers de ses ventes.
La biscuiterie réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 30 millions de francs. Sa friandise-phare tire son nom du mot « gaufrette » et de son créateur, Otto Kägi. Ce dernier avait racheté en 1934 une boulangerie dans la commune de Lichtensteig, puis élaboré le Kägi-fret quelques années plus tard.
L’entreprise n’était plus en mains familiales depuis 1996, quand les frères Otto, Alfred et Eugen avaient cédé l’oeuvre de leur père au groupe commercial bernois Valora. Celui-ci l’avait revendue en 2008 à la société d’investissement Argos Soditis.