Le libre choix c’est d’écouter si on aime et de na pas écouter si on n’aime pas. Ce « limogeage » est complètement inutile voire néfaste pour la liberté. Le pouvoir de la « censure » est très puissant aujourd’hui et fabrique une image, un moule dans lequel l’impertinence, lé dérision, le contraire, l’imagination, la création n’a pas sa place. Il suffit de voir les budgets alloués à la culture en 2010 et à qui. Dommage, on sent comme une pieuvre qui étouffe la pensé petit à petit un peu plus chaque jour.. A quand un nouveau Guillon, un nouveau Reiser ?
Merci d’avoir donné votre avis, il est respectable, autant que ceux qui ne sont pas de votre avis ! Ce qui est le plus souvent consternant, c’est la vision qu’on les professionnels d’un secteur donné, à imposé leur dogme sur leur public où leur client. Le conformisme, la bien séance nous assommes, nous enferme dans une vision stérile. Osons sans blesser inutilement, mais bordel, avançons que diable !
Journaliste, directeur de journaux, j’ai formé et dirigé bcp de journalistes. Une certitude: le service public n’est pas un crachoir!
La liberté de parole n’est pas n’importe quoi…
La chronique de ce matin, que j’ai écoutée, était consternante.
Le libre choix c’est d’écouter si on aime et de na pas écouter si on n’aime pas. Ce « limogeage » est complètement inutile voire néfaste pour la liberté. Le pouvoir de la « censure » est très puissant aujourd’hui et fabrique une image, un moule dans lequel l’impertinence, lé dérision, le contraire, l’imagination, la création n’a pas sa place. Il suffit de voir les budgets alloués à la culture en 2010 et à qui. Dommage, on sent comme une pieuvre qui étouffe la pensé petit à petit un peu plus chaque jour.. A quand un nouveau Guillon, un nouveau Reiser ?
C’est justement le problème avec Guillon : il blesse inutilement.
Merci d’avoir donné votre avis, il est respectable, autant que ceux qui ne sont pas de votre avis ! Ce qui est le plus souvent consternant, c’est la vision qu’on les professionnels d’un secteur donné, à imposé leur dogme sur leur public où leur client. Le conformisme, la bien séance nous assommes, nous enferme dans une vision stérile. Osons sans blesser inutilement, mais bordel, avançons que diable !
Journaliste, directeur de journaux, j’ai formé et dirigé bcp de journalistes. Une certitude: le service public n’est pas un crachoir!
La liberté de parole n’est pas n’importe quoi…
La chronique de ce matin, que j’ai écoutée, était consternante.