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Archive mensuelle de décembre 2011

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God save the Queen !

God save the Queen ! dans Crazy radC2223

Merci Ian…

GRUFFAZ Electrok

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Bonjour à Tous !
Je présente mon nouveau projet musicale et chanté « GRUFFAZ Electrok » Samedi 17 décembre à 19h30 à la Tour Feuillant à MENS. Il s’agit d’un duo (et demi)  orienté chanson électro-rock …
En attendant à voir sur http://www.gruffaz.fr

PAF : 5€ (ou quelques noix pour ceux du SEL)
VENEZ NOMBREUX !!!

Pascal GRUFFAZ
VIVA RITA
04 76 34 87 42

La « fusion » du Trièves : suite

La

LES ELUS
Les communes ont où vont élire des représentants au conseil communautaire de la nouvelle CDC du Trièves. Elles obtiendront un représentant par tranche de 200 habitants.
Cela donne :
 - 18 représentants pour les 12 communes du  canton de Monestier de Clermont : 4 pour la commune de Monestier, 2 pour Gresse en Vercors et 2 autres communes, 1 pour la plupart des autres (là, je patauge un peu, merci pour les infos)
 - 14 pour les 9 communes du canton de Mens, à raison de 6 pour Mens et 1 pour les autres communes
 - 9 pour les 8 communes du canton de Clelles, 2 pour la commune de Clelles et 1 pour les autres communes.
A noter que cette représentation correspond mieux à la population. Au conseil communautaire du SAT, chaque canton (Monestier : 3908 habitants, Mens : 2581 habitants, Clelles : 1813 habitants) disposait de 5 représentants.
La commune de Mens vient donc d’élire ses 6 représentants au futur conseil communautaire. Les heureux élus sont Annette Pellegrin ,maire de Mens, Jean Paul Mauberret 2ème adjoint, Fabrice Bon, Gérard Chevally, Michel Guiguet et Sophie Reichmuth.
Pour mémoire, la commune n’avait que 4 représentants au conseil communautaire de la CDC de Mens : Marcel Calvat, 1er adjoint et président de la CDC, et déjà Gérard Chevally, Michel Guiguet et Jean Paul Mauberret. Jean Luc Guichard et Marie Barrault étaient suppléants.
LES COMPETENCES
On a déjà vu que Monestier de Clermont détiendra le siège de la future CDC du Trièves. Clelles hériterait du pôle tourisme et Mens du pôle culture et patrimoine.
LE BUDGET
Là, coup de gueule : nos élus restent d’incorrigibles dépensiers, qui heurtent ma sensibilité de centriste, un peu radin avec l’argent public. On aurait pu penser que cette fusion permettrait de modestes économies d’échelle. Quelques mises à la retraite bienvenus, quelques départs volontaires auraient pu permettre de baisser sans douleur la masse salariale. Il y avait 4 directeur des services pour les 3 CDC et le SAT, on aurait pu penser qu’une directrice et un adjoint suffirait. Même chose à d’autres niveaux. Mais on restera à employés constant soit 140 ETP (équivalent temps plein). Il est vrai qu’il a fallu créer un poste de directeur des ressources humaines pour gérer tout ce petit monde.

Cela permettra-il à la CDC d’obtenir de nouvelles délégation de compétences de la part des communes ? Et si oui, les communes réduiront elles pour autant leur personnel ? Vous saurez tout cela en continuant à lire le Dodiblog !

Notre train est en danger !

 Ou quand une verte s’exprime sur un blog Lepagiste…Notre train est en danger ! dans Ecologie radBBA04

Interview de Corinne Bernard, conseillère régionale, chef de gare de Clelles

Propos recueillis par Samuël Foutoyet pour Les Nouvelles du Pays

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Corinne Bernard, j’habite dans le Trièves depuis sept ans. J’ai été postière à Mens, et depuis 2006 je suis chef de gare de Clelles. Je suis syndiquée à Sud-Rail, représentante au Comité d’Entreprise de la SNCF. Je suis également conseillère régionale du canton de Mens depuis mars 2010. J’appartiens au groupe Europe-Ecologie-Les-Verts.

Vous souhaitez lancer ici un message d’alerte concernant les services publics dans le Trièves.

Oui, il faut alerter les Triévois et les Triévoises sur la dégradation de nos services publics. La situation est de plus en plus grave, en particulier pour le train, la poste et l’école.

Commençons par le train. Que se passe-t-il en ce moment avec la ligne TER du Trièves ?

La ligne a été fermée six semaines en octobre et novembre. Officiellement il s’agissait de réaliser des travaux de réfection de la voie. Or non seulement ces travaux n’ont pas eu lieu, mais en plus la SNCF annonce la suppression de trois trains sur la ligne à partir du 11 décembre !

Pourquoi les travaux ont-ils été annulés ?

L’entreprise Réseaux Ferrés de France (RFF) affirme ne pas avoir eu le budget nécessaire. Il faut savoir qu’en 1997, lorsque le gouvernement a coupé la SNCF en deux pour confier la maintenance des lignes à RFF, il a transféré l’essentiel de la dette de la SNCF à RFF, soit environ 20 milliards d’euros et des agios d’un milliard d’euro par an. Aujourd’hui la dette de RFF atteint 32 milliards, c’est catastrophique. Résultat : les lignes de train ne sont pas assez entretenues !

Pourquoi avoir fermé la ligne si les travaux n’ont pas été réalisés ?

C’est tout le problème. Dès le 8 octobre la SCNF savait que les travaux n’auraient pas lieu. Les voyageurs n’en ont même pas été informés ! Il faut savoir que pour la SNCF, remplacer le train par des bus coûte moins cher. Tout se passe comme si la SNCF avait voulu profiter des « non-travaux » pour faire six semaines d’économies budgétaires.

Au final ce sont les voyageurs qui en ont subi les conséquences…

Bien sûr. En bus les conditions de voyage sont moins confortables. Les horaires sont plus aléatoires. Parfois les bus oublient de desservir certaines gares. Concrètement, quand le train est en travaux, c’est le bazar, et de nombreuses personnes préfèrent utiliser leur voiture.

Quels trains la SNCF veut-elle supprimer à partir du 11 décembre ? Pourquoi ?

La SNCF veut supprimer trois trains : le train partant de Clelles vers Grenoble à 7h12, le train partant de Grenoble à 19h13, et le train partant de Grenoble le vendredi à 20h13. Officiellement il s’agit d’un problème de sécurité sur les voies. Mais pourquoi ne pas résoudre ces problèmes, et pourquoi supprimer les trains les plus fréquentés ? Ces trains sont ceux les plus utilisés par les Trièvois travaillant dans l’agglomération grenobloise ! Tout se passe comme si la SNCF voulait peu à peu remplacer les trains par des bus, alors qu’au contraire, d’un point de vue écologique et pratique il faut investir dans le train. Si nous ne réagissons pas maintenant, l’année prochaine d’autres trains risquent d’être supprimés !

Quelle sont les résistances possibles ?

Venez au prochain comité de ligne exprimer votre colère ! Le lieu et la date exactes seront affichés dans les gares. Pour être tenu au courant vous pouvez aussi contacter l’association pour la promotion de la ligne SNCF Grenoble-Veynes-Gap (AGV) au 04 76 22 21 63. Il va falloir se mobiliser si nous voulons défendre notre train : pétitions, rassemblements…

Concernant la poste, quelle est la situation dans le Trièves ?

La Poste, désormais Société privée, restructure ses services pour augmenter son taux de profit. Cette année deux postes ont été supprimés, à Monestier de Clermont et à Mens. Pour l’instant cette décision est assez invisible pour la population, puisque les services sont presque identiques. En revanche les tournées des postiers ont été allongées, les conditions de travail se dégradent, et si le trafic de courrier augmente on verra les problèmes arriver. En 2013 de nouveaux postes risquent d’être supprimés.

Et l’école ? La rentrée scolaire à Mens a été assez mouvementée…

Une classe de maternelle a été fermée à Mens. Jusqu’ici il y avait une vingtaine d’élèves par classe, ils sont maintenant 27, c’est beaucoup trop ! Au collège de Mens les classes sont également trop chargées, il faudrait en ouvrir de nouvelles. Le gouvernement dégrade l’éducation nationale, c’est grave. La conséquence, c’est que les parents envoient les élèves en écoles privés voire déscolarisent leurs enfants.

Quelles ont été les résistances ?

Les parents d’élèves ont organisé des rassemblements, une pétition a rassemblé 380 signatures, ce qui est beaucoup pour un village comme Mens. Mais l’inspection académique a refusé de revenir sur sa décision. C’est scandaleux.

Quelles sont les résistances de manière générale dans le Trièves ?

Beaucoup de personnes sont indignées par les politiques actuelles et sont prêtes à se mobiliser. Mais on ne sait plus où donner de la tête tellement les assauts contre les services publics sont nombreux et insidieux. En revanche nous manquons de collectifs ou de partis politiques très structurés dans le Trièves. Sans doute serait-il pertinent de relancer le collectif Vivre en Trièves ?

Un dernier mot ?

Le plus urgent est de se mobiliser pour empêcher la suppression des trains. Si nous ne réagissons pas, l’année prochaine nous risquons de perdre encore des trains, voire, à terme, la suppression de la ligne. Mobilisons-nous !

2 films à Saint Jean

Ce  lundi 12 décembre, l’écran vagabond propose 2 films à Saint-Jean d’Hérans à la maison pour tous (à la sortie du village en direction de Monestier….)

Lundi 12 décembre à 17 h 30 

Emilie jolie

2 films à Saint Jean dans Non classé radF500A

d’après le conte musical de Philippe Chatel, avec les chansons interprétées par Georges Brassens, Henri Salvador, Julien Clerc, Françoise Hardy…
Pour tous publics à partir de 3 ans

Lundi 12 décembre à 19 h 00 

La nouvelle guerre des boutons

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Le célèbre roman de Louis Pergaud, par le metteur en scène des Choristes…
Avec Laetitia Casta, Guillaume Canet, Kad Merad, Gérard Jugnot, François Morel…
Pour tous publics à partir de 6 ans

Denis, pour L’Ecran Vagabond du Trièves

renseignements :  04-76-34-92-60

et www.evt.c.la

 

 

 

Marché de Noel à Mens

Marché de Noel à Mens dans Trieves evenements radB7E4F

Félix Neff

Félix Neff dans Histoire F%C3%89LIX_NEFF_%281797-1829%29

Un moment déjà que je suis intrigué par la plaque, située sur le Presbytère protestant, place Place Paul Brachet à Mens. Elle parle de Félix Neff et d’André Blanc, fondateurs de l’école modèle protestante en 1 832.

Une petite recherche sur internet et voiçi l’explication : http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_Neff

Question subsidiaire : cette école était située au presbytère à partir de 1875 puis migra à l’actuel maison de l’Obiou en 1899. Ou était elle située entre 1832 et 1875 ? J’ai séché quelques sommités locales à ce sujet…

 

 

La recyclerie du Trieves

La recyclerie du Trieves dans Non classé radC21FA

KésaKo ?

C’est plusieurs choses à la fois,

L’ atelier vélo

On récupère, démonte, recycle des vélos, pour faire re-rouler des petites reines

Quasi intégralement fondé sur la réutilisation de pièces d’occasions, tout pour l’ancien, presque tout pour le récent !!

L’atelier bricolage

Re – Cycle – Art mets à votre disposition des outils et de l’espace pour réparer et transformer un peu tout : travail du bois et du métal, quelques outils voiture pour l’entretien de base etc…

On vous montre aussi comment s’en servir et entretenir le matériel, et un tout petit peu de matière première (de recup’) pour dépanner

Un lieu de stockage temporaire – zone de gratuité

Alternative à la déchetterie, Re – Cycle – Art stock vos objets à récupérer et fait le lien entre l’ancien et le nouveau propriétaire Venez inscrire vos dons/ besoins sur le panneau de l’atelier !!Une petite zone de gratuité avec des babioles à récupérer.

Appel aux dons !!

De vos personnes, compétences ou outils (cassés et repérables ou usés et entre tenable) que vous souhaitez mettre à disposition de tous.

Cet atelier est avant tout collectif et son but est d’apprendre tous ensemble, apportez aussi vos idées de bricolage !

Permanence chaque Mercredis de 14h à 19h

Association loi 1901 Re – Cycle – Art

Rue Louis Rippert – 38 710 Mens

Mail: recyclerietrieves@gmail.com

Tel : 04 76 34 96 48

Quel Tourisme pour le Trièves ?

Un article de Pascal Lluch, déjà paru dans les Nouvelles du Pays de Décembre

Quel Tourisme pour le Trièves ? dans Ecologie rad48A80

Depuis 2009 est engagée sur le Trièves une démarche de développement d’une forme particulière du tourisme, dite écotourisme.

Quelle en est la définition ? Quelles valeurs porte-t-elle ? Quelles valeurs doit-on éventuellement lui ajouter ? Quels bénéfices peut en retirer le Trièves ?

L’Organisation Mondiale du Tourisme définit ainsi l’écotourisme : « Au delà de l’appréciation et de l’observation de la nature, l’écotourisme implique de la part du tour-opérateur et de ses clients, un certain degré de responsabilisation par rapport à la destination visitée, un respect des sites et des cultures locales, un engagement, une implication personnelle qui vise à minimiser l’impact des visites, à maximiser les retombées financières locales et à contribuer à la conservation et au développement durable de la région visitée« .

Au sein de la commission écotourisme que nous avons créé au Syndicat national des accompagnateurs en montagne, nous avons souhaité préciser cette définition :

« L’écotourisme englobe les principes du tourisme durable en ce qui concerne les impacts de cette activité sur l’économie, la société et l’environnement et [...] comprend les principes particuliers suivants qui le distinguent de la notion plus large de tourisme durable :

v     il contribue activement à la protection du patrimoine naturel et culturel,

v     il inclut les populations locales dans sa planification, son développement et son exploitation, contribue à leur bien-être, et encourage leur participation,

v     il propose aux visiteurs une interprétation du patrimoine naturel et culturel,

v     et il se prête mieux à la pratique du voyage en individuel ainsi qu’aux voyages organisés pour de « petits groupes ».

La première définition est l’expression de la vision d’un opérateur touristique (le marché), conscient que son activité pourrait avoir des impacts négatifs sur le territoire, et fait la promesse d’y porter attention.

La seconde est l’expression d’un tourisme maîtrisé, proposé par les acteurs (logique de territoire). Elles procèdent de deux logiques, l’une dite descendante, et l’autre ascendante. On les retrouve dans tous les champs de la gouvernance…

L’approche territoriale de l’écotourisme

Rappelons que la définition d’un touriste, que nous préférons appeler visiteur, est simplement une personne qui passe une nuit en dehors de chez elle. On parle ainsi de tourisme d’affaire, de proximité, familial, etc., quelque soit la durée du séjour, l’intermédiaire choisi, l’argent dépensé, l’utilisation d’un lit dit marchand, ou gratuit (famille par exemple).

D’une manière très synthétique, on peut ainsi énoncer les grandes lignes d’un écotourisme souhaitable :

1/ Minimiser les nuisances, par un tourisme diffus et intégré, c’est-à-dire peu consommateur de ressources primaires ; on peut citer :

- l’eau

- les énergies

- les affectations du sol (infrastructures dédiées)

- les impacts sur les paysages

2/ Minimiser les investissements, au regard des retombées attendues

3/ Maximiser les bienfaits : l’écotourisme doit être pensé comme levier d’opportunité pour :

> améliorer les infrastructures existantes, nécessaires à la vie des habitants, en en créant le moins possible qui soient dédiées spécifiquement au tourisme

> améliorer les dessertes, transports collectifs, à la demande, partagés, etc., en favorisant les mobilités douces (ne pas surcharger les voies de communication, respecter l‘environnement et la tranquillité des espaces ruraux, réduire nos émissions de gaz à effet de serre…).

> Améliorer le niveau de vie de certaines personnes, certains secteurs d’activités, avant de chercher à créer des emplois 100% dépendants du tourisme. Toutes les productions locales sont concernées : agricoles, culturelles, celles des artisans, etc. Le but est que les retombées économiques concernent le plus grand nombre d’acteurs possible,

> Valoriser le territoire, sous tous ses aspects, aux yeux de ses habitants.

D’une manière ou d’une autre, tous ces éléments contribuent à l’amélioration du lien social.

Notons que les retombées du tourisme sont toujours à la fois plus importantes et plus larges que ce que l’on suppose. En Trièves, les indicateurs économiques liés au tourisme font totalement défaut, et c’est bien dommage. L’attention des décideurs, et les moyens mis en oeuvre (qualitatifs et quantitatifs) sont en général en rapport avec le poids du secteur concerné ; encore faut-il le mesurer.

Choisir son tourisme, c’est choisir ses visiteurs

Les éléments ci-dessus impliquent la maîtrise de la production touristique par les habitants et les acteurs, au sens large ; le renforcement de cette intelligence collective, de cette forme d’organisation nécessite d’envisager un soutien financier et technique (formation, animation, mise en réseau, conseil,…). Ces financements existent.

Seule une organisation du tourisme à l’échelle du territoire de type participative permet de faire éclore la richesse et l’originalité d’une offre touristique en adéquation avec les aspirations et toutes les potentialités du Trièves.

Le marketing de la demande, c’est-à-dire l’adaptation de l’offre à la supposée demande du marché (comme si elle était unique et facilement cernable), est encore trop souvent le modèle suivi. Il est évident que, pour nous, la première demande qu’il faut prendre en compte, c’est d’abord celle du territoire et de ses acteurs. Une offre claire, originale, qualitative, et bien diffusée rencontrera son public, celui dont les attentes seront en accord avec les valeurs du territoire d’accueil.

La spécificité de notre attractivité, c’est, comme disent les experts, un tourisme à très forte  valeur ajoutée immatérielle. Celle des savoir-faire (novateurs comme traditionnels, nombreux sur le Trièves), mais aussi, ce que l’on mesure souvent moins, des savoir-être, par exemple les valeurs comme le partage, la solidarité, très fortes aussi sur le Trièves. De plus en plus, les visiteurs s’intéressent à ce qui fait la vie du territoire qui les accueille ; dans le choix de sa destination, le candidat sera sensible aux expérimentations, à la possibilité de rencontrer ceux qui vivent là, et qui attend d’être reçu « en personne », et non pas comme un mouton de plus à tondre. Lors de la fête de la Transition, des personnes de toute la France sont venues en Trièves se rencontrer, réfléchir ensemble, construire de leurs mains des fours solaires, se faire expliquer les énergies renouvelables, etc., et sont reparties comme autant d’excellents ambassadeurs du Trièves. Et ceci n’est qu’un exemple de ce qui existe déjà.

La dimension pédagogique est la composante souvent éludée de l’écotourisme ; alors que nous avons tout ce qu’il faut en Trièves pour croiser les thématiques (compétences et volontés). Il s’agit d’un tourisme d’échange plus que de simple consommation (des paysages, des infrastructures et de l’espace public).

La taille et les ressources du Trièves sont adaptées à un tourisme quasi individualisé, à l’opposé de la recherche d’un grand nombre de touristes.

Le tourisme doit participer à la maîtrise collective du destin du territoire, rejoignant en ceci les valeurs et recommandations de l’agenda 21 (développement durable).

En résumé, nous dirons que ce n’est pas au tourisme d’exploiter le territoire, mais bien l’inverse !

Pascal Lluch pascal@randopays.com

Accompagnateur en montagne (38710 – Saint Jean d’Hérans)

Vice-président de Voyageurs et Voyagistes Ecoresponsables (association nationale)

 

 

Défendre le train

Défendre le train dans Trieves transport radE1E94

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