Le covoiturage, tout le monde s’y mettait : association, département, région, entreprise. Chacun son site et au total, une belle cacophonie. Monsieur X qui fait Mens – Grenoble tous les matins s’inscrit sur le site A. Madame Y qui fait le même trajet aux mêmes heures s’inscrit sur le site B. Pas de mise en relation possible, chacun continue donc à prendre sa voiture.
Les choses changent et un site commence à prendre le dessus et à fédérer tout cela en France et même en Europe: http://www.covoiturage.fr/
2 millions de membres, 350 000 trajets par mois et mieux encore 60 emplois créés et des recrutements à venir (http://www.covoiturage.fr/blog/recrutement). L’écologie et l’économie quoi !
A titre d’exemple, déjà 2 offres régulières sur le trajet Mens – Grenoble retour
« marque blanche »: solution clé en main (développement, hébergement) qui permet a l’acheteur de mettre sa marque sur le portail/site web en donnant l’impression d’un site web différent (URL différente, « look & feel » différent). La plupart des sites de covoiturage pour les collectivités sont en fait opérer/hébergé sous ce principe. Par exemple, le site http://www.covoiturage-sud-grenoblois.fr/ est en fait « opérer » par « La Roue Verte » et les trajets entrés ne seront donc visible que la ! (même principe pour http://covoiturage.letudiant.fr/ qui est « opérer » par Comuto).
Peut tu expliciter le concept de « marque blanche » ?
« prendre le dessus » et « fédérer » n’est pas tout a fait la même chose !, en quoi l’entreprise Comuto fédère elle le covoiturage en France ?
Si effectivement ce site est un des plus utilisé, la réservation d’un trajet y est payante et l’entreprise qui exploite le site est la première a créer la « cacophonie » puisqu’elle tire ses revenus de la commercialisation de sa plate-forme en « marque blanche » aux collectivités et aux entreprises …