Je tiens à mettre en avant cette poésie de Pastis 51 sur le thême de l’A51, en commentaire sur le Dodiblog. Qui passe ainsi de la polémique au romantisme, de la prose à la rime !
C’est vrai que ça va nous changer la vie.
Grace à notre bon Président Vallini,
La Bouillabaisse nous pourrons aller manger,
A fond la caisse, sans même un arrêt.
Mais à vouloir aller trop vite,
Mon bon Sénateur, c’est la route que l’on quitte.
On se dit alors, zut j’ai tout perdu,
Mon âme, ma douceur de vivre et le goût du merlu.
Mon bon parlementaire, attention à ne pas tout mettre par terre.
Ce n’est pas le moment de faire la guerre.
En cette période de trêve,
Nous espérions un autre rêve pour notre Trieves.
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