Un petit compte rendu de ma copine Marie Claire, une centriste Grenobloise et bien au fait de la politique de la municipalité. Je lui ai demandé, à l’occasion des vœux, ce qu’elle pensait de la politique d’Eric Piolle et de son équipe. Marie Claire m’a promis une petite chronique mensuelle de la vie Grenobloise, rien que pour les heureux lecteurs du Dodiblog !
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Mon sentiment sur le maire de Grenoble : et bien les grenoblois se réveillent et constate que Mr Piolle s’est fait élire sur de la communication uniquement. Son équipe est incompétente et en grande majorité d’extrême gauche. Leur culture est de démolir ce qui a été construit par pur dogmatisme. Ils ne négocient rien et décapitent carrément ce qui est en place. Le maire a décidé de déléguer tout à la Métro, se contentant de faire de la gestion pure et simple, sans investissements productifs qui pourraient désendetter la ville petit à petit comme nous l’avions fait. Il veut juste garder la politique de la ville qui dépend des fonds de l’état mais qui ne sont pas destinés à développer l’économie de notre ville. Ce n’est pas un maire écologiste, c’est un maire d’extrême gauche qui a commencé son travail de repli de la ville sur elle-même et de sabotage. J’ai assisté aux premiers conseils municipaux mais j’ai renoncé tellement les débats sont axés sur l’idéologie et ennuyeux au possible. De plus il y a eu une chasse aux sorcières et tous les cadres petit à petit sont évacués pour les remplacer par des cadres de la municipalité de Montreuil où Madame Voynet a été chassée et n’a pu se représenter. Mr Piolle n’a pas respecté la charte Anticor qu’il a signé devant la presse (soit dans le cadre de son mandat municipal mais aussi en occultant les revenus de ses actions à Singapour qui additionnées à celles de son épouses sont très importants ainsi que sur la déclaration de son véritable patrimoine). A noter également que la baisse annoncée de la rémunération des élus Grenoblois a été largement compensée par l’augmentation substantielle que se sont accordés ces mêmes élus qui siègent à la métro.
Marie Claire
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