Grenoble avant Piolle
Grenoble avec Piolle
On note le sens artistique de la nouvelle municipalité, l’inspiration très « pays de l’est avant la chute du mur » des nouveaux décideurs. Et on reste encore plus pantois en apprenant que ces magnifiques oeuvres d’art privent la commune, pourtant criblée de dettes, de 600 000 euros de recette publicitaires. Chapeau bas Monsieur Piolle !
Effectivement j’ai oublié de préciser que ces merveilles auraient couté la bagatelle de 250 000 euros. A vérifier, bizarrement la municipalité ne surcommunique pas là dessus.
quelle horreur….et j’imagine qu’il faut acheter ces horreurs alors qu’avant les jolies tours étaient financées par Decaux et que en plus ils payaient pour qu’elles soient la…..
Drôle de travail de la part de la municipalité grenobloise
C’est vrai, les colonnes Morris existent depuis plus de 100 ans. Heureusement les parallélépipèdes Piollien disparaitront, après le mandat unique et non renouvellé de leur géniteur, à la mairie de Grenoble. C’est vrai aussi, ils ne sont pas éclairés, ce qui permet d’échapper à leur vision la nuit !
Désolée mais vous n’êtes pas convaincants.
J’avais lu déjà moi aussi les propos de l’entreprise Decaux
(forcément, « il regrette » ! Un gros marché surtout) et m’étais dit que j’étais très curieuse, sincèrement, de connaître la liste des annonceurs locaux et régionaux qui louaient des espaces publicitaires régulièrement, cela pourrait être intéressant.
Du coup, c’est bien, au moins ça questionne, ça interpelle ! (sur la pub, le beau, la nouveauté, les habitudes, etc), oui, c’est bien ! L’essentiel étant de rester en marche…. !
Grenoble verra si oui ou non c’était une bonne idée notamment de prendre directement en charge la gestion de ces quelques supports d’affiche, de laisser aussi plus de chances à de ‘petits’ annonceurs. Ce qui est sûr c’est que le bilan ne peut pas être fait aujourd’hui !
je suis d’accord avec les propos précédent qui sont progressistes ,mais le progrès pour le progrès ou l »écologie pour l’écologie cela n’a souvent aucun sens !!!! on peut faire tout ce que vous dites en plus joli!!!! cela ne couterai probablement pas plus cher!!! et pour ceux qui disent que les colonnes sont vieilles et dépassées et qu’on les voient même plus méfiez vous qu’un jour ce ne soit pas vous,les colonnes !!!
La ville utilise la moitié des espaces pour son expression publique, notamment les événements culturels, l’actualité des associations, les manifestations sportives…. Les autres 50 % sont réservés à la communication des marques, dont plus de 200 annonceurs locaux et régionaux.
http://www.jcdecaux.com/fr/Presse/Communiques/2014/JCDecaux-regrette-la-de-cision-du-maire-de-Grenoble-de-ne-pas-remettre-en-concurrence-le-mobilier-urbain
Ah la la… tradition, quand tu nous tient !
http://www.grenoble.fr/1679-publicite.htm
Vous avez une idée de qui peut s’offrir un affichage d’une semaine sur une colonne Morris (et combien elle nous coûte à tous aussi, qui plus est, toute bien éclairée la nuit, et tout) ?
Un panneau sur un bus ? Etc.
Quelle structure, entreprise, peut s’offrir cela ? Est-ce que cela aide le développement local, les structures locales ? (Cela fait la promo de quoi, au fond ?).
Ces nouveaux ‘cubes’ de Grenoble ne sont peut-être pas très très jolis, mais, franchement, informez-vous : La nouvelle réflexion sur l’affichage ne se résume pas à cela ! Il est peut-être temps de voir un peu plus loin que le bout de son nez et d’arrêter de vouloir sembler plus abrutis qu’on ne l’est, en réalité.
C’est une petite transition qui se passe là à Grenoble. On reparlera de pub et d’aménagement urbain dans 10 ans…
(Et pour info, les colonnes Morris ont été conçues fin XIXe siècle, dans la mouvance du style « Art Nouveau » – « Nouveau », à l’époque, un mouvement oscillant entre art et artisanat pour contrer alors la fabrication trop industrielle prévisible… C’était beau à l’époque, c’est beau encore parfois, mais… on peut plutôt parler aujourd’hui, de pseudo-colonne Morris – plus vraiment fabriquées et fignolées comme on le faisait en 1900 – Mais c’est surtout devenu tellement commun, il y en a dans toutes les villes, depuis plus d’un siècle… on ne les voit plus !).
Voilà qui témoigne d’un goût douteux et d’une rigueur de gestion inexistante.