Le désastre SNCF continue. Réunion de famille ce samedi avec dispersion dimanche.
Un jeune cousin prend le train Lyon – Montpellier. Orage, coulée de boue sur la voie, l’ensemble des TGV de Languedoc Roussillon bloqués. La SNCF offre généreusement de passer la nuit dans le train et de repartir le lendemain matin…
D’autres convives prennent le train Clelles – Grenoble pour une correspondance sur Paris. Train en panne technique à Gap. La SNCF n’affréte qu’un bus pour remplacer le train. Aucune place pour les quelques vingt passagers en rade à Clelles. Aide toi, la SNCF t’aidera ! Chacun pour soi, on descend donc en voiture à Grenoble.
Compte tenus des tarifs ahurissants des trains (11 euros 10 pour un Grenoble -Clelles soit 42 km), on reste ébahi par la qualité d’entretien, tant des lignes que du matériel roulant. Il est vrai qu’il faut bien payer la retraite à 50 ans…
Réjouissons nous (et désolons nous pour la planète…) de l’explosion du covoiturage et de la création des lignes de bus (merci Macron !). Et souhaitons une ouverture à la concurrence la plus rapide possible du transport de passagers sur le rail. On verra alors ce que pèseront les offres de notre pauvre SNCF, CGTisée et SudRailisée jusqu’aux oreilles, face à celle de la très efficace Deutschbane ou de Virgin Trains…
Pour mémoire : Magnifique SNCF…
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