Nos amis cheminots organisent donc une votation pour savoir s’ils sont d’accord ou non avec la réforme de la SNCF. Ce qui est leur droit le plus absolu. Ils oublient simplement qu’il s’agit d’une entreprise national et que la réforme a été voté par l’assemblée, représentante de la volonté nationale.
La grève continue gentiment, dans l’indifférence grandissante et dans le bruit de fond des médias. Pour leur part, les « usagers » qu’on appelera clients après l’ouverture à la concurrence, pratiquent les bus Macron, le covoiturage, l’avion. Pas sur qu’ils reviennent au train après cette grève interminable ! Et commencent également à exprimer leur ras le bol à travers diverses pétitions :
Allez, un petit clic !
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