Archive pour la Catégorie 'Non classé'

Le Dodiblog des Baronnies…

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Mobilité dans le Nyonsais et au delà : covoiturage & cars & vélos & etc. | Facebook

Moquette ou ChatGpt ?

Stupeur, stupéfaction, sidération en lisant l’hallucinant édito ci dessous de Monsieur le maire de Mens dans le TUM du mois d’avril.

D’ou la question suivante : 

Selon vous pour son édito du TUM d'avril, Monsieur le maire de Mens a :

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L’édito en question : 

Une société est faite d’individualités. C es individus peuvent se regrouper en collectif autour d’un débat d’idées ou de la jouissance d’un bien. En ce sens ils font du commun… Mais entre eux, il y a de fait multiplicité de ces cellules à l’échelle d’une société ou bien d’une commune en ce qui nous concerne.

L’individu qui partage une idée ou une action au sein de sa cellule a tendance à légitimer une idée de majorité qu’il pose au sein de la société sans consulter les autres cellules alors qu’en fait il ne fait que de l’entre soi.

À l’opposé, une assemblée délibérante, le Conseil municipal à notre niveau, a soit le choix d’imposer son angle de vue – sa cellule a été légitimée par une majorité de voix le jour du vote -, soit d’essayer de faire du commun. C’est cette seconde voie que l’équipe municipale actuelle a choisie.

Cela implique d’être en lien et à l’écoute des individus ou plutôt de leur cellule et d’intégrer leur message dans la réflexion. L’exercice, ensuite, est de trouver le dénominateur commun au plus grand nombre de cellules pour mettre en place un projet qui puisse être rassembleur. Le revers de la médaille étant pour chaque individu ou cellule d’être frustré ; l’entièreté de leur idée n’ayant pas été retenue.

Là, commence la discussion pour une meilleure compréhension et donc acceptation au nom du commun et plus à titre individuel.

Cette phase peut se dérouler sous forme d’échanges par le biais des différentes voies de rencontres mises en place au sein de la collectivité ou à l’opposé par l’envoi de courrier ou mail plus ou moins invectivant, menaçants ou agressifs en fonction de l’état de frustration et de l’envie d’échanger de l’individu ou de sa cellule. Tout l’art de l’élu est alors de relativiser ce type de positionnement souvent lié au positionnement du curseur entre individualisme, intérêt personnel et vision d’un intérêt collectif.

Je ne parlais, là, que du commun social entre individus mais depuis quelques mois et différentes crises, il faut rajouter du commun financier pour que tous les citoyens soient intégrés et aussi un commun environnemental avec la prise en compte obligatoire des transitions climatiques, énergétiques, alimentaires, etc.

Cette démarche du commun qui a existé au moyen âge, notamment dans l’agriculture puis a disparu, est revenue dans l’actualité avec l’attribution en 2009 du prix Nobel d’économie à l’économiste et politologue américaine Elinor Ostrom. Une femme qui a redonné du sens à l’action de faire société ensemble.

Je cite : « Le capitalisme se révèle de plus en plus incapable d›apporter des réponses pertinentes en termes de progrès humain durable ou défis essentiels posés aujourd’hui à l›humanité. »

« On peut mentionner les attaques systématisées contre les droits démocratiques, l›utilisation des peurs et des idéologies nationalistes, racistes et xénophobes, nourries par la crise elle-même et renforcée par le développement des impasses populistes. »

Il s’agit donc bien pour nous d’une révision profonde du vivre-ensemble. Face à un capitalisme libéral qui persiste à magnifier concurrence, individualisme et chacun pour soi ; les sphères de l’écologie et de l’économie sociale et solidaire permettent d’apporter des réponses concrètes, à portée d’action, à toutes les échelles territoriales dans la proximité et le partage.

Plus : mairie-de-mens.fr/wp-content/uploads/2024/04/TUM_272_def_bis.pdf

Association Bien Vivre En Trièves – Lettre d’information N°4

Association Bien Vivre En Trièves
Lettre d’information N°4

Un budget 2023 en trompe l’œil

La municipalité Mensoise a voté les budgets 2023 le 28 mars dernier devant une salle comble. L’association Bien Vivre En Trièves, qui avait appelé à assister à cette séance
budgétaire, a été entendue.
Elle continuera à le faire.
Le vote a été sans surprise 12 pour, et 3 contre, celles de l’opposition.
C’était attendu, mais … la pauvreté des réponses aux questions posées, tant de la part du maire que de l’adjoint aux finances, a eu raison de nos espoirs.
Très difficile de voir clair dans ce budget qui ne dégage aucune priorité. Et pourtant un budget, c’est un acte de volonté qui montre le sens donné à la gestion municipale. Où veut-on aller et comment ?
Ce soir-là, la présentation rapide et ultra résumée n’a rien éclairé du tout …
Nous n’en sommes pas restés là. Grâce aux documents un peu plus détaillés que les membres de l’opposition ont obtenus, après avoir dû faire une demande par écrit au
secrétariat ! (C’est un comble), nous en savons peu plus et du coup plus de questions appelant des réponses. Il y a eu trois budgets : deux habituels, général et eau-assainissement et un troisième de circonstance : celui du tourisme.
Le budget général :
Le fonctionnement coûtera 2 165 000 € soit 17 % de plus qu’en 2022. C’est explicable dans le contexte actuel d’inflation, mais c’est un taux trop élevé par rapport aux produits fiscaux (917 k€) et aux dotations (535 k€) qui augmentent d’environ 13%. Quelles sont les raisons ? On aimerait bien savoir par exemple comment les produits de gestion (131 k€) augmentent de 125% et pourquoi les autres charges de gestion (231 k€) augmentent de 41,5 %. Aura-t-on des réponses ? Le TUM pourrait garder quelques espaces pour ça.
L’investissement : essentiel pour l’avenir et le sens de l’action qu’on veut mener, se monte à 930 730 € en baisse de 33% par rapport à 2022. La baisse est considérable et il n’y a pas que le niveau qui interroge, il y a la nature des dépenses.
En 2023 le poids des immobilisations corporelles (acquisitions immobilières surtout) pèse toujours très lourd (654 k€) alors que l’année précédente elles avaient déjà atteint un niveau record (à peu près 1000 k€).

Vu les sommes considérables qui sont engagées, un récapitulatif de ce qu’elles recouvrent concrètement est indispensable.

Pour éviter un endettement dangereux on a prélevé 600 k€ sur les excédents de fonctionnement cumulés depuis les années antérieures et ainsi largement consommé la réserve de sécurité, qui permettait d’aborder sereinement l’avenir et particulièrement les réalisations de l’opération tant vantée de Petites villes de Demain.

De ce fait, les marges de manœuvre s’épuisent ; ce que les banques ne manquent pas de surveiller de près.

Et pour faire bonne mesure dans les dépenses, on inscrit des frais d’études considérables (181 k€), soit, autant que pour les réseaux de voieries et les bâtiments publics
réunis (respectivement123 k€ en baisse de 56% et 62 k€,). Et c’est un progrès par rapport à l’an dernier, où on avait atteint 251 k€. !
Sauf que les études de sol indispensables pour créer la zone artisanale qui manque cruellement, semblent être oubliées.
Un « détail » : le projet d’infrastructure privé à 18 k€ (?) qui avait déjà bénéficié l’an dernier de 63,5 k€. De quoi s’agit-il ?
Le budget eau – assainissement
Il s’agit là d’un vrai service public, pas comme le camping ! La question de l’eau est vitale pour Mens : il faut assurer la ressource et la commune poursuit les travaux avec la commune voisine Saint Baudille pour la garantir.
Les excédents d’exploitation dégagés au cours des années précédentes permettent d’envisager quelques travaux d’équipement mais rien d’important sur les réseaux.
On annonce 80 k€ pour réparer les fuites !! Le réseau de la commune est très long (plus de 40 km) et l’état général est médiocre, voire mauvais, dans certains tronçons.
Les travaux de réhabilitation des espaces publics ont permis de construire des réseaux neufs, mais il reste beaucoup à faire. Il ne faut pas interrompre le travail commencé et
surtout, éviter le gaspillage.
Le taux de fuites sont très élevés (environ 45%) et nécessitent une vraie politique d’investissements de long terme.
On ne peut se contenter de « poser des rustines » en pensant « naïvement » que le transfert de la compétence à la Communauté de Communes en 2026 résoudra tout.
L’agence de l’eau qui apporte des financements est attentive à ceux qui font des efforts. Les recettes d’exploitation, la redevance annuelle, est en augmentation de 15,7 %
c’est un signe positif, il est dommage qu’une partie aille dans les fuites….
Le budget annexe « Tourisme »
C’est un budget de circonstance, baptisé « service public », conçu pour le camping qui vient de changer de gestionnaire et pour l’auberge de Mens qui est actuellement sans exploitant.

En fait ni le camping ni l’auberge ne constituent des services publics : ce sont des activités commerciales gérées par la commune qui passe des contrats avec des gestionnaires choisis dans le cadre d’appels à concurrence.

Les conditions dans lesquelles ce budget a été élaboré, sous la pression de l’urgence peuvent expliquer les imprécisions et les lacunes. Mais ces insuffisances sont à un niveau tel qu’il est très difficile d’y voir clair.
Quelques chiffres très globaux permettent malgré tout d’en mesurer la fragilité.
C’est un budget de 771 500€ dont 612 500€ sont apportés par le budget général de la commune (les chiffres ont été donnés par le maire dans le TUM d’avril).
Le complément 159 000€ est assuré par un autre apport de la commune comme suit : (109 000€) et par une estimation des recettes (50 000€) du camping et peut-être de l’auberge (si elle ouvre avant la fin de l’année).

Au total la commune apporte 721 500€.

Evidemment le camping (et l’auberge ?) devra assurer le remboursement de l’emprunt (500 000€) contracté par la commune.
Le gérant devra prendre sur les recettes de même que le loyer dû (15000€) et le pourcentage (4%) sur le chiffre d’affaires.
Il lui faudra payer en plus les charges de gestion courante (électricité, eau, assurances …).
Les chiffres prévus dans le budget annexe de la commune (45 000€) sont sujets à caution. Il faudra payer des salariés pour l’entretien général du camping (combien ?) pendant combien de temps ? Si comme il est dit l’ouverture sera prolongée, le cout salarial augmentera d’autant. On fait un pari très risqué sur l’effet financier d’une ouverture prolongée d’autant plus qu’il ne suffit pas d’être ouvert pour avoir des clients.
En résumé à travers ce budget improvisé, on peut craindre des difficultés financières qui appellerons à nouveau un financement de la commune. Déjà au mois de mai prochain, comme il est prévu dans le contrat, quand il faudra payer la première annuité de
remboursement de 41 852€ !
Un an ou deux à tenir dans ces conditions, avec quelles perspectives ? avec quelles conséquences financières pour la commune et même pour la vie de ce service « dit public »
du tourisme ?

On jugera sur les faits et non sur les discours …

Asssemblée générale

Aux adhérents de l’association « Bien Vivre En Trièves »

CONVOCATION à l’Assemblée Générale Extraordinaire de l’association

Le Vendredi 17 MARS 2023 à 18h Salle multi-activités de SAGNES à MENS

Ordre du jour :

- Point de situation sur les actions en cours (camping de MENS)

- Perspectives et prospectives

- Témoignages des habitants du Trièves

- Questions diverses.

Cette réunion est ouverte à toutes et tous. Venez avec vos parents, amis, voisins …

Ils seront les bienvenus en tant que potentiels nouveaux adhérents.

Nous débattrons librement sur le bien vivre en Trièves.

Nous comptons sur votre présence et vous attendons nombreux …

Camping de Mens : réunion publique

reunion publique

Cliquez sur l’image pour agrandir.

Réunion publique organisée par l’association Bien Vivre en Trièves lundi 23 janvier, à propos des décisions de la municipalité de Mens concernant le camping. 140 peut être 150 personnes présentes, salle Chatel bondée, des gens jusque dans le couloir et les escaliers ! Une assistante calme et très attentive, stupéfaite de la situation. Affaire à suivre ! 

 

Multimodalité

 

Multimodalité dans Non classé

=> Multimodalité dans la vallée de l’Ennuye : covoiturage & cars & vélos etc

Le pire rappeur de France

Mon fils Anton sort un court métrage sur Youtube avec son ami Jules Gras, détenteur de la chaîne Youtube « Cacto Beats ».

Ce court métrage est basé sur l’histoire d’un rappeur de bac à sable, « Téton du 38″ qui aimerait percer. Malgré sa personnalité atypique il essaye par tous les moyens de convaincre une maison de disque de le soutenir dans son projet.

Ce court métrage sera associé d’un clip sortira le vendredi 13 mai et sera disponible sur toutes les plateformes ! (Youtube, Spotify, Apple music…)

J’espère que ça vous plaira, on attend vos retours ! 

Image de prévisualisation YouTube

On clique sur l’image pour démarrer la vidéo !

LES LOMBRICOMPOSTEURS : ECOLOGIE OU DELIRE DE BOBOS ?

Un beau matin, je tombe sur le site aguicheur de la ferme du Moutta : https://www.fermedumoutta.fr/
La page d’accueil ne brille pas par sa modestie :
Les lombricomposteurs les plus performants au monde, le plus vaste choix d’Europe

Plein d’enthousiasme écologique, j’opte pour le modèle à 3 plateaux à 82.5 euros. Il faut rajouter les vers, litière, aliments protéinés, régulateur de PH, activateur de reproduction etc etc. Le tout pour la modique somme de 129 euros. Quand on aime on ne compte pas…

Les gentils lombris arrivent un mercredi matin. Je les installe en suivant scrupuleusement les consignes. Jeudi soir, retour de boulot, invasion de lombrics dans toute la maison. La plupart des bestioles sont mortes en se desséchant,  d’autres frétillent encore. Impossible de voir l’endroit de sortie. On ramasse les cadavres et dodo. Vendredi matin, nouveau champ de cadavre.
Pas de chance, l’assistance téléphonique n’est joignable que du lundi au jeudi. Appel au secours par mail. On m’explique que les gentils vers sont stressés par le voyage et cherche donc à aller voir ailleurs. Il faut gérer le stress du ver de terre en lui mettant une petite lumière… Devenir spécialiste en psychologie du ver de terre.
En parcourant plus avant le guide fourni et la littérature internet, je m’apercois qu’il faut aussi devenir spécialiste
 - En guerre bactériologique pour éviter l’invasion de pucerons.
 - En nutrition des lombrics qui dégagent de mauvaises odeurs en cas de problème gastrique.
A savoir : contrairement à un composteur classique, le lombricomposteur ne supporte pas les agrumes, les laitages, l’ail etc
 - En chimiste : un régulateur d’acidité est fourni pour équilibrer le PH…
 - En sexologie du ver de terre : pour cela utiliser l’activateur de reproduction fourni.
Bref on retrouve dans la gestion du lombricomposteur tous les plaisirs de la gestion d’une piscine, les pucerons et les odeurs en plus.
Et oui le lombricomposteur est un réacteur biologique dans votre cuisine, un peu comme un réacteur nucléaire. Gare aux mini Tchernobyl !
En discutant avec plusieurs personnes, l’évidence apparait rapidement. Tous ont abandonnés, un concept beaucoup trop prise de tête par rapport à un composteur classique ! J’abandonne également !
Un excellent témoignage içi :
CONCLUSION
 -  Vous avez un jardin, même minuscule, optez pour un composteur classique. On y jette ses déchets organiques, on brasse de temps en temps et le tour est joué.
 - Vous n’avez pas de jardin mais des composteurs collectifs à proximité, amenez y vos déchets. Au besoin réclamez leur installation à vos élus.
 - Pas de jardin et pas de composteurs collectifs mais un bac de ramassage de déchets organiques : allez y !
 - Rien de tout cela ? Réfléchissez bien ! Avez vous du temps disponibles ? Etes vous passionné par la psychologie et la sexualité du lombric ? Alors le lombricomposteur est fait pour vous !
Mais plutot que de vous ruiner en passant commande sur le site de la ferme du Moutta, recycler les recycleurs et acheter à bas prix parmi les centaines d’ustensiles en vente sur le bon coin et qui n’ont jamais servi : Toute la France – leboncoin

La culture selon Piolle…

piollebernard

 

Edifiant : La révolution culturelle de l’écologie politique à Grenoble (franceculture.fr)

Vacances électriques

Les vacances du futur par la famille Dod !

Pour Noel, cap au sud, direction Porquerolles. On tente l’électrique avec la Zoé Citiz Mensoise. Du 600 km aller -retour, une distance encore jamais tentée.

Départ de Mens, batterie à bloc, 300 km d’autonomie au compteur (contre 400 en étè), bornes de recharge repérées à l’avance.

Conduite zen, pédale douce, on descend vers la mer depuis le col de Lus, l’autonomie se prolonge.

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Premier arrêt d’une petite heure à Saint Maximin la Sainte Beaume. Une jolie voiture garée à la borne de recharge contigu. Petit problème : la puissance théorique de 20 kw se trouve divisée par 2.

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Pause pic nique puis petite visite de la ville et de la magnifique basilique.

Plus : La Basilique – Paroisse Ste Marie-Madeleine à St-Maximin-la-Ste-Baume (paroissesaintmaximin.fr)

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Arrivé à Hyères, bateau, pas la foule, l’avantage du hors saison

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Porquerolles, douceur climatique, magnificence des paysages

Plus : Île de Porquerolles / Site officiel de l’ile de Porquerolles à Hyères (hyeres-tourisme.com)

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 Rencontre avec le redoutable macaque de Porquerolles : attention il mord !

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 On s’intéresse également à l’histoire de François Joseph Fournier, un Belge ayant fait fortune au Mexique et qui avait acheté l’ile en 1912.

Plus : François Joseph Fournier — Wikipédia (wikipedia.org)

L’homme de Porquerolles | JC Lattès (editions-jclattes.fr)

 rians

 3 jours plus tard, on reprend la voiture avec 100 km d’autonomie. Cela nous permet de nous hisser jusqu’à Rians.

3

Avec 3 % d’autonomie restante… Recharge d’une heure permettant de reprendre 125 km.

 Rians-78

On en profite pour jeter un coup d’oeil au village. On reviendra…

Et encore un bref arrêt à Serres pour reprendre quelques électrons avant de gravir le redoutable col de la Croix Haute.

 

Conclusion : le tourisme en silence et voiture électrique à distance moyenne est désormais possible. Cela exige un minimum de préparation, une certaine philosophie de la lenteur, permet de jolies visites. Tous les villages de France et d’ailleurs méritent qu’on y pase une heure. 

Plus : Temps de charge et autonomie batterie Nouvelle ZOE – Renault

Citiz : Citiz Alpes-Loire : l’autopartage pour tous, proche de chez vous

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