On se rappelle de la dernière Piollennerie…
Ce qui circule sur internet…
Blog Grenoblo – Trièvo – Matheysin à tendance écolo – centriste…
La résistance s’organise face à l’autoritarisme Piolleux :
Une suggestion : condamner le maire de Grenoble à une journée de travail d’intérêt général pour avoir financé cette « oeuvre » avec l’argent public d’une municipalité, qu’il proclame par ailleurs ruinée. Cela lui donnera le temps d’effacer la fresque et les tags qui vont avec…
« Stand up for the French police », l’origine du slogan…
« Allez les bleus », extraordinaires Irlandais !
Nouvelle demande d’information à Mme Corinne Bernard du GAM (Groupe d’Analyse Métropolitain) sur le Grenoble Street Art Fest
Chère Madame Bernard,
Dans votre courrier du 07 juin 2016 en réponse à notre demande d’information, vous écrivez que Spacejunk reçoit des subventions municipales depuis une dizaine d’années. Nous avons passé en revue les listes de toutes les subventions accordées à des associations depuis 2006 (listes publiées sur le site de la ville) et nous n’avons trouvé qu’une subvention de 23 600 euros en 2015. Est-ce une erreur ou une omission de votre part?
La presse avance un coût de 200 000 euros pour l’organisation du Grenoble Street Art Fest. Nous comprenons que vous avez acheté des prestation artistiques et il est bien normal que les grapheurs soient rémunérés pour leur travail.
Les marchés publics ont-il été passé directement avec chaque artiste pour chaque œuvre? Quel est le montant de ces contrats par artiste/œuvre? Quel est le coût total de cette manifestation pour la collectivité (personnels municipaux inclus)?
La fresque intitulée « L’Etat Matraquant la Liberté » pose problème. Si l’artiste a bien évidement la liberté d’exprimer ses idées, en revanche le faire sur l’espace public et ainsi l’imposer à tout le monde est beaucoup moins acceptable. L’art et la culture ne s’imposent à personne et l’espace public n’est pas un musée ou une galerie où ceux qui le souhaitent peuvent voir des œuvres d’art. Il est strictement prohibé aux collectivités de financer toute forme de propagande politique avec de l’argent public. C’est un principe constitutionnel découlant de la neutralité de l’Etat et du service public. Il appartient aux partis politiques de le faire. Un comité devait valider chaque œuvre réalisée lors du Street Art Fest. Ce comité et la municipalité ont-ils donné leur aval à la réalisation de cette fresque? Quels sont les membres de ce comité?
Nous vous remercions par avance des réponses que vous nous apporterez et vous prions de recevoir nos sincères salutations.
Le Groupe d’Analyse Métropolitain : https://www.facebook.com/groups/452486238291838/permalink/534286123445182/
Un certain délire ultra bobo gauchiste. Le signe d’une municipalité qui perd pied ?
PARIS
C’est rigolo. En se baladant sur la page Facebook de « Nuit Debout Grenoble », on tombe sur un petit reportage photo partagé de leur virée à Paris, pour la dernière manif anti loi travail. Après quelques photos sympa de caillassage d’hôpital pour enfants, on tombe sur ce graffiti qui rappelle certains de nos tags Mensois récents. Une source d’inspiration ?
https://www.facebook.com/ovmqcgrenoble/
La même prose sur le site coopératif « d’infos et de luttes Paris – banlieue » : https://paris-luttes.info/hier-il-n-y-avait-plus-de-place-6149
MENS
Pour mémoire : Petits cons bis
La démocratie à Grenoble :
- Le principe :
https://www.grenoble.fr/660-interpellation-et-votation-d-initiative-citoyenne.htm
- La réalité :
Quand le maire de Grenoble se fait gronder par le préfet de l’Isère pour gestion calamiteuse…
Pour les myopes, l’autofinancement brut passe de 22 millions en 2014 à 5 millions en 2015, première année de mandat Piollesque. Une réduction notable des dépenses d’équipement, qui de plus repose sur l’ »emprunt et la ponction des réserves !
Ca sent la mise sous tutelle…. Pauvre Grenoblois, encore 4 ans !
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