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Jumelage & Echange linguistique

 

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Mens est la capitale du Trièves, personne n’en doute… Mais le Trièves n’est pas le centre du monde !  Un peu d’ouverture vers l’extérieur, d’échange avec l’étranger ne nuit pas. Le Trièves pourrait profiter de la présence de nombreux Britanniques sur son territoire pour envisager un rapprochement, suivi d’un éventuel jumelage avec une commune Anglaise de taille comparable.

Le guide du jumelage :

http://www.jumelages-limousin.eu/wp-content/uploads/2011/05/Guide_des_jumelages.pdf

Un jumelage ayant un certain cout, il serait préférable de le mutualiser au niveau intercommunal. Cela a déjà été fait ailleurs.

http://www.thouars-communaute.fr/jumelages.html

On a tout près de nous, l’exemple réussi du jumelage de La Mure avec la commune Allemande de Marktredwitz. Or la commune de la Mure compte moins d’habitants que la CDC du Trièves, la tâche n’est donc pas insurmontable.

http://www.ville-lamure.com/tourisme/anniversaire%20du%20Jumelage.pdf

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Le mono-linguisme Franco-français est un danger qui guette les jeunes Français en général et les jeunes Trièvois en particulier. Or l’apprentissage des langues étrangères, au premier rang desquelles l’Anglais, est une des conditions de la réussite personnelle et professionnelle. Les formules traditionnelles de séjour linguistiques sont le plus souvent une ruine financière et un désastre pédagogique, les enfants étant le plus souvent reçus dans des familles pour des raisons essentiellement économiques.

Un jumelage pourrait permettre d’organiser des échanges scolaires et des séjours linguistiques croisés, donc à moindre cout, le transport restant seul à charge des familles.

Une façon de faire l’Europe par la base, isn’t it ?

Lettre ouverte

Mens, le 4  janvier 2014

Monsieur  le Président,

Hébergeur et ancien vice-président de l’Office de Tourisme du canton de Mens, je voudrais vous faire part de mes plus vives inquiétudes concernant l’avenir du tourisme dans le Trièves.

Je viens de constater avec une grande déception que l’Office de Tourisme de Mens est fermé pour toutes les vacances de Noël,  excepté  trois demi-journées.

Ceci arrive après l’expulsion par vos services de l’Association Trièves Tourisme de son local le vendredi 21 juin. Il y a deux ans cette association était forte de plus 120 adhérents, avec 9.900 euros de cotisations. Aujourd’hui les adhérents ne sont plus que 25 et les cotisations sont tombées à 1200 euros. Cette traduction de démobilisation des bénévoles est peut être liée au sentiment de non prise en compte par la politique de la CDC. Il semblerait que  la Communauté de Communes  ne considère pas les militants associatifs comme des partenaires mais plutôt comme des concurrents et ne cherche pas à les associer ; alors que pour eux  c’est de leur survie économique et de l’installation de leurs enfants ou de  leur  successeur dont il s’agit.

Comme vous le savez, l’association n’a plus de bureau, son matériel est stocké dans les anciens bâtiments peu sécurisés du Conseil Général, alors que le local où elle était logée rue de Breuil au centre de Mens, est toujours  inoccupé et semble servir de débarras. En juillet je vous ai adressé une pétition signée par une quarantaine de personnes, dont la moitié de commerçants de Mens demandant la restitution des locaux de l’association Trièves Tourisme, je n’ai toujours pas eu de réponse de votre part. Nous espérons toujours que l’association retrouve ce local adapté à sa fonction d’animation et de  dynamisation du tourisme local, en synergie avec les attentes des professionnels économiques.

Auparavant, dans le cadre de l’Office de Tourisme du canton de Mens, grâce à une bonne collaboration entre bénévoles, élus politiques et salariés, nous avions réussi, en quelques années, à créer une dynamique associative et un véritable pôle de compétences avec des professionnels dont certains interviennent au niveau international. La synergie professionnels/bénévoles et professionnels/salariés mettaient l’Office de Tourisme au cœur des différentes manifestations qui attiraient et retenaient plus de touristes. Cette collaboration permettait, en cas de besoin, d’élargir les plages d’ouverture de l’office avec des bénévoles motivés par la promotion du tourisme.

Hébergeur, avec d’autres, je constate, après bientôt deux années de fonctionnement de la fusion de la Communauté de Commune, qu’une seule réunion appelée « forum » a eu lieu le 26 novembre 2013 ; elle portait essentiellement sur la  taxe touristique, mais il n’y a pas eu de présentation d’une politique touristique claire ni de la liaison Trièves Vercors qui nous questionne. Nous attendons avec intérêt, comme convenu, le compte rendu de cette réunion.

Nous vous saurions gré de bien vouloir organiser, avant les élections municipales, une réunion avec les professionnels  touristiques du Trièves pour dégager des éléments de bilan sur la politique touristique conduite depuis deux ans; ceci permettrait à la future équipe qui sortira des prochaines élections de tenir compte des expériences vécues pour ne pas tout reprendre à zéro et s’appuyer sur les points positifs.

Une politique  touristique communautaire pour le Trièves devrait tenir compte des spécificités des territoires ; en effet  pour le secteur de Gresse en Vercors et des Balcons  il s’agit d’un tourisme de masse pour faire fonctionner une station touristique. Alors que pour les cantons de  Clelles et de Mens, c’est une forme de tourisme plus ciblée, que l’on peut qualifier d’écotourisme, c’est-à-dire un tourisme qui n’est pas une fin en soi, un tourisme avec de petits effectifs mais qui a un impact très fort sur  toutes les activités économiques, culturelles et sur les commerces. Ceci permet de maintenir toute l’année, un haut niveau de services, eut égard au nombre d’habitants du Canton de Mens.

Dans l’attente de votre réponse sur mes interrogations, et dans l’espoir que l’Association Trièves Tourisme retrouve ses locaux pour faire son travail d’animation touristique dans des conditions normales, avec des soutiens  financiers et humains et en synergies avec les élus de la Communauté de communes du Trièves.

Je vous assure Monsieur le Président de mes respectueuses salutations.

 

Claude Brand

Une région prête pour l’après pétrole

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Le Trièves, région située près de Grenoble, est reconnue comme éco-territoire avec, notamment, l’installation du Centre Ecologique qui a fortement contribué au rayonnement écologique de la région. Les collectivités volontaristes et une bonne partie de la population est sensibilisée à l’écologie. Face au triple défi des crises économiques, énergétiques et climatiques, un groupe de citoyen a décidé de lancer TRIEVES-APRES-PETROLE. Il s’agit d’un groupe informel créé le 25 septembre 2008 pour faire connaître le défi du pic pétrolier dans Le Trièves et inviter tous les habitants et acteurs à préparer la région à la mutation de l’après-pétrole, à initier une « descente énergétique. »

Émission de 52 minutes

Prochaine diffusion

Vendredi 20 décembre, 20h40

Samedi 21 décembre, 18h10

Dimanche 22 décembre, 12h40

Mardi 24 décembre, 18h10

Jeudi 26 décembre, 14h30

Samedi 28 décembre, 20h40

Post scriptum :

Hello Olivier,
Les Triévois, bien qu’étant à la pointe de l’innovation s’il faut en croire les médias, semblent assez nombreux à être un peu en retard sur l’équipement en télés et satellites… et se retrouvent un peu frustrés de ne pas savoir comment voir ce fameux documentaire sur Montagne TV. Pourrais-tu lancer un appel sur ton blog pour savoir si des gens qui reçoivent cette chaîne seraient disposés à partager une soirée documentaire chez eux avec des gens sans télé ?
Nathalie

Nos chers conseillers du sud Isère…

 

 

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J’avais annoncé une suite pour le lendemain de l’article Dédé ne (nous) lache pas !, qui concernerait cette fois les conseillers généraux du sud Isère.

Coup de flemme, 2 jours après ce n’est pas fait et je me fais engueuler par un(e) de ces conseiller(e)s ! C’est pour quand l’article en question ? Y’en a qui sont accros au Dodiblog, c’est flatteur !

Bon, on peut donc lire dans le journal à Dédé : « L’initiative de relancer le projet d’achévement de l’A51 est soutenu par tous les conseillers généraux, de gauche comme de droite« . Là, je me dis : quelle belle unanimité ! De deux choses l’une : soit tous nos conseillers sont effectivement convaincus de la nécessité de ce chantier, ce qui est fort possible et je suis convaincu que la majorité le sont. Soit certains sont « aidés » dans leur prise de décision : une vote favorable pourrait « faciliter » les travaux du collège, de la piscine etc. Mauvaise langue ? Pas sur…

Si on se concentre sur nos trois conseillers du Trièves, deux de droite (Clelles et Monestier), une de gauche (Mens), on constate que les deux premiers ont une position claire. Ils sont pour l’autoroute, ils l’ont affirmé, répété et confirmé. On est pas d’accord mais ça a au moins l’avantage d’être net !

C’est nettement moins clair pour notre conseillère de Mens, sainte Annette. Dans cet échange de mail déjà pas très limpide : A51 : la position d’Annette Pellegrin, il semblait que la dame penchait plutôt pour une réfection des routes et notamment de la 1075. Ce qui ne l’empêche pas de signer aujourd’hui avec tous ses collègues : «  L’achèvement de ce tronçon autoroutier est vital pour le sud-Isère, et pour les Hautes Alpes car l’enclavement de nos territoires est un obstacle insurmontable pour le développement économique et notamment le tourisme etc « . Bon, seuls les imbéciles ne changent pas d’avis…

Noel à Mens

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Samedi 14 décembre déambulation aux lampions :

NOUVEAU : à14h, Atelier enfants-parents création de lampions pour la déambulation en lien avec la MEJ, à l’Espace culturel de Mens ou à la MEJ.

18h rassemblement place de la Mairie.

Déambulation musicale dans les rues de Mens accompagnée du Père Noël, chants de Noël avec tous les enfants.

19h vin chaud offert par l’Association « TRIEVES Tourisme », dégustation et vente de produits du terroir par les commerçants du canton.

20h animation musicale.

 

Dimanche 15 décembre de 10h à 18h Marché de Noël sous la Halle de Mens :

Nombreux exposants.

Groupe folklorique de danses dauphinoises : La DELPHINALE.

16h arrivée du Père Noël.

Petite restauration chaude sous la Halle.

Venez nombreux !

Posez des bougies à vos fenêtres pour le passage de la déambulation

Bougies à disposition à l’Association « TRIEVES Tourisme » Place du Puits de Brunel.

 

Renseignements : 04 76 34 30 55 – ca@trieves-tourisme.fr – www.trieves-tourisme.

L’association TRIEVES Tourisme

Post scriptum :

Bonjour Olivier,

Est-ce que tu peux communiquer sur ton blog la tenue du MARCHE DE NOEL 2013 avec les documents suivants en insistant sur le fait que l’atelier pour les enfants du samedi 14/12 à 14h au Centre culturel de Mens se prépare en lien avec les animateurs de la MEJ et en activité périscolaire du soir dans les écoles de Mens : création de lampions avec le concours aussi d’Anne Gallet et de Florian Bordenave (récupération d’objets et de matériaux.

Dire que nous attendons encore des candidatures d’exposants pour le Marché du dimanche 15 décembre sous la Halle, que tous les bénévoles seront les bienvenus, que nous cherchons un groupe de musique qui veuille jouer au temple le soir du Samedi 14/12 à 20h et qu’il faut croire à tout cela pour que la belle fête de Noël se réalise pour la plus grande joie des enfants et des parents aussi.

Et encore que le Père Noël arrivera le samedi 14/12 à 18h à Mens et le Dimanche à 16h !!!

Je te remercie beaucoup Olivier.

Bizz

Agnès

FCPE ? Non merci !

Reçu vendredi dans le courrier du collège de Mens, la profession de foi de mes copains de la FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’Elèves) dans le cadre des élections au conseil d’administration dudit collège.

Ca commence par : « La FCPE, depuis plus de 20 ans à Mens etc » . Bon, ça fait 15 ans que j’habite à Mens et 15 ans que je lis cela en introduction ! J’en conclu que ça doit bien faire 35 ans que la FCPE est à Mens ! La fédération « canal historique »… Faudrait voir à pas abuser du copié-collé d’une année sur l’autre !

Par ailleurs quelques points du « programme » me font tiquer :

« Nous soutiendrons les enseignants pour l’amélioration de leurs conditions de travail (fin des postes sur plusieurs établissements) »

Pas certain que ça soit le job des parents d’élèves. Les enseignants ont des syndicats nombreux, actifs et efficaces pour défendre leurs propres intérêts. Le mélange des genres, la pratique de la « courroie de transmission » ne me paraît pas judicieux. Demande t’on aux syndicats d’enseignants de s’occuper du menu des cantines ? « Chacun chez soi et les moutons seront bien gardés » disait mon grand père…

Même remarque pour le : « Nous veillerons à pérenniser les emplois précaires »

 

Il serait sans doute plus adéquat de se concentrer sur des problèmes plus typés parents d’élèves. Quelques exemples :

- Le remplacement systématique des professeurs absents, notamment pour les absences programmées du type « stage de formation ».

- Le retour à une variété de choix pour le lycée de secteur des élèves du Trièves. Aujourd’hui c’est la Mure « point barre », auparavant on pouvait aussi s’orienter vers le lycée des Eaux Claires.

Il y a certainement de nombreuses autres idées, le débat est ouvert.

 

Cette année, on votera donc pour la liste des parents indépendants, en attendant la liste de la PEEP au collège… dont je m’occuperai personnellement à la rentrée 2014 !

Plus : http://www.peep-isere.com/index.php/default/default/affichepage?sujet=Accueil

FCPE ? Non merci ! dans Parents d'élèves peep

 

 

Visite à Qarnot computing

Vous êtes un peu écolo, un peu intelligent et comme nous vous avez déjà pensé à l’absurdité de nos convecteurs électriques qui consomment la forme la plus noble de l’énergie  pour produire la forme la plus dégradée, c’est à dire de la bête chaleur.
Voyons, soyons fous …

      
Et si votre radiateur était intelligent ? Et s’il faisait des calculs à n’en plus finir dans un silence absolu ? et si plus les calculs étaient compliqués et plus il vous chauffait ? Et si c’était en réalité un ordinateur au travail ? et si, à  cause de ce travail utile, on vous remboursait votre consommation électrique ? Vous diriez  que c’est du rêve ? Et bien non,  ce rêve est devenu réalité grâce à une start-up que nous nous sommes empressé d’aller visiter. Voici le compte-rendu de notre visite .

__________________________

De Thomas Goujon, responsable informatique au centre écologique de Terre vivante, tgoujon@libertsurf.fr

Olivier Dodinot, kiné curieux, ododinot@yahoo.fr

 Sylvain Aubin, consultant en informatique, sylvain.aubin@diatopie.com

Le 6 Juin 2013

Compte-rendu de notre visite chez Qarnot Computing

Le lundi 3 juin 2013, nous sommes trois, Sylvain, Olivier et Thomas, à appuyer sur la sonnette de Qarnot Computing à Montrouge, la jeune société qui propose un
système de chauffage par le calcul. Nous sommes reçus par son fondateur Paul Benoit, diplomé de l’école polytechnique. L’entretien qui dura deux bonnes heures, commença par les présentations et un café.

Visite à Qarnot computing dans Ecologie radiateur-photo

Le contexte

La demande de puissance de calcul mondiale va en explosant. On considère que les data centers consomment déjà 2% de l’électricité mondiale et 7% de l’électricité Française. La production Française, très stable car basée à 80% sur les centrales nucléaires, convient bien aux datas centers dont la consommation est également stable.

Le concept

Qarnot Computing collabore avec la société 4MTec dont elle partage les locaux pour fabriquer et commercialiser un système de chauffage particulier, les Q-RAD :  chaque radiateur Q-RAD est équipé de 4 processeurs de calcul dernière génération (16 giga de RAM) sur lesquels sont adossés des radiateurs à ailettes qui évacuent la chaleur produite en chauffant ainsi leur environnement. Il n’y a pas de ventilateur donc pas de bruit.

Plus les processeurs calculent plus ils produisent de la chaleur et celle-ci n’est plus un déchet.

Il est prévu de remplacer les processeurs par de nouveaux modèles tous les deux à trois ans.

Marché et Clientèle

Cette société a deux types de clientèle :

  • Le client « chauffage » qui héberge le radiateur Q-RAD et profite de la chaleur fournie. Typiquement un particulier.
  • Le client « calcul » qui externalise chez Qarnot computing les traitements de calcul. Typiquement un organisme privé ou public ou encore une société gros consommateurs de temps CPU.

Modèle économique

Son modèle économique consiste à vendre des heures de calcul au client « calcul » et à effectuer ces calculs en les distribuant sur les Q-RAD des clients « chauffage » en leur remboursant leur consommation électrique sur une base trimestrielle. A noter que la consommation électrique des Q-RAD  est mesurée en temps réel par le radiateur. L’avantage compétitif de la solution Qarnot est qu’elle revient, pour le client « calcul »,  à 25 centimes de l’heure de calcul par processeur. C’est à dire 4 x moins cher qu’une offre en datacenter. Le détail du modèle pour la partie « chauffage » n’est pas encore totalement arrêté.
Pour l’instant, le Q-RAD n’est pas encore proposé directement au grand public, mais quand il le sera, Qarnot envisage une location des radiateurs.

Le client « chauffage »

Lorsque le besoin en chaleur des clients « chauffage » surpasse la chaleur produite par les traitements vendus aux clients « calculs », Qarnot lance des campagnes de calculs gratuits pour la recherche scientifique ou, à l’extrême, effectue des calculs « absurdes » uniquement destinés à faire tourner les processeurs. A l’inverse, et c’est notamment l’été, les calculs sont ralentis ou stoppés chez le client « chauffage ».
Approximativement, un processeur calculant deux fois moins consomme et chauffe trois fois moins.

A noter qu’en cas de coupure internet, le chauffage continue car les Q-RAD disposent de calculs résidents qu’ils continuent à effectuer jusqu’à rétablissement de la
liaison.

Le modèle que nous avons vu a une puissance de 450 W permettant de chauffer 15 m2 d’un bâtiment isolé selon les normes modernes.

img_0323-copier dans Trièves

Un modèle à 750 watt pour 6 processeurs est envisagé à moyen terme. Egalement « un chauffe eau – ordinateur » mais il faut résoudre les problèmes de condensation qui rende le dispositif beaucoup plus complexe, donc coûteux.

Pour chaque Q-RAD il faut une prise électrique et une prise réseau. En effet, chaque radiateur est relié à internet via un boitier, une Q-BOX, installé dans la maison qui régule le chauffage et distribue les calculs vers les radiateurs.

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L’utilisateur peut modifier la température du Q-RAD grâce à un thermostat à écran tactile situé sur le Q-RAD. Les calculs se feront donc plus ou moins vite selon qu’on demande plus ou moins de chaleur. C’est essentiellement la vitesse et le nombre des processeurs qui rentrent en jeu dans ce mécanisme de contrôle de la température.

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Ce système est plutôt prévu pour un chauffage régulier (chaleur douce entre 40 et 50°C) et non par pics, comme les convecteurs de type « grille-pain », son inertie est d’environ une heure. L’intelligence embarquée sur le radiateur permet d’imaginer pour l’avenir d’y connecter des périphériques et de dédier une partie de la puissance de calcul à des applications de domotique locales. On a évoqué l’exemple d’une application  utilisant la kinect pour détecter les chutes dans le cadre d’une utilisation en maison de retraite.
D’autre part, il devient possible d’effacer facilement les pics de consommation électrique sans avoir à mettre en place des systèmes tiers comme Voltalis.

Actuellement Qarnot Computing installe ses produits prioritairement là où les débits internet sont importants. La société privilégie donc les clients « chauffage » équipés en fibre optique et équipe des bureaux proches de son siège pour le moment. La solution XDSL permettant de cumuler le débit de plusieurs lignes ADSL pourrait aussi être envisagée.

Le client « calcul »

Les calculs sont répartis sur un certain nombre de radiateurs Q-RAD en fonction de leur complexité. 10 000 radiateurs Q-RAD équivalent à un Datacenter. Le m2 efficace des Data Centers revient jusqu’à 15 000 € actuellement !

Au total, comme il a été dit, la solution Q-RAD revient 4 fois moins chère qu’un Data Center de l’heure de calcul par processeur. L’intérêt qu’a un client « calcul » à adopter la solution Qarnot n’est pas uniquement financier.
En externalisant ses calculs sur une telle infratructure, il accède à un puissance extrêment souple en fonction de ses besoins tout en réduisant son impact écologique.

Les freins évoqués

  • La nouveauté du concept fait qu’il s’intègre mal dans le cadre de certaines normes ou réglementations existantes. C’est le cas du RT2012 pour lequel Qarnot va tenter d’obtenir une dérogation au titre de la cogénération.
  • La technologie CPL n’est pas actuellement supportée principalement à cause des trop nombreuses configurations électriques rencontrées chez le client
    « chauffage » qui réduisent ou annulent le débit attendu
  • La partielle saisonnalité de l’activité de calcul (moins de puissance disponible en été)

Conclusion

L’idée est géniale. Le Trièves étant  beau et froid,  il a tout du site pilote idéal pour valider le système et devenir un client « chauffage » privilégié. Sa culture fortement
associative et écologique est très favorable aux expérimentations en phase de démarrage. Une société comme Terre-vivante, dans laquelle Thomas travaille, a de plus en plus besoin de ressources en calcul… Elle héberge ses serveurs mais a aussi recours aux Data Centers.
D’autres sites sont envisageables à Mens : Le centre médical, maison de retraite etc.

En video

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Plus

Le site : http://www.qarnot-computing.com/

Questions fréquentes : http://www.qarnot-computing.com/about/faq

Articles : http://www.20minutes.fr/planete/1116009-20130311-chauffage-gratuit-grace-ordinateurs

http://www.usinenouvelle.com/article/qarnot-computing-invente-le-radiateur-a-calculs.N189157

http://www.leparisien.fr/montrouge-92120/et-si-on-se-chauffait-avec-des-ordinateurs-18-03-2013-2649039.php

 

 

Permaculture

 

Un stage de permaculture (Cours Certifié de Conception en Permaculture) de 12 jours animé par Alexia Martinez, Frédéric Brengarth et Véronique Pellé est prévu à Mens dans le Trièves du 22 juillet au 3 août 2013.
Alexia vit et enseigne la permaculture en Australie depuis plusieurs années. Frédéric Brengarth est animateur en agroécologie en Rhône-Alpes et formateur en permaculture à Terre et Humanisme. Véronique Pellé anime l’association Gourmandises sauvages et le réseau Brin de Paille Rhône-Alpes.
Cette formation est centrée sur la ‘conception’ (design) et  les stagiaires seront amenés à concevoir deux sites pendant la formation, le site de Pré Faucon et leur propre lieu de vie.
Elle s’adresse à tous, jardiniers ou non, que vous ayez moult hectares ou un simple balcon comme terrain d’expérimentation.
Vous trouverez plus d’informations dans la brochure en pièce jointe.
Clôture des inscriptions le 7 juin
Merci de faire circuler dans vos réseaux, il reste des places.
Bises
Fred
La permaculture est un mouvement d’éducation populaire et un outil de régénération des territoires* qui permet à chacun de prendre en charge son autonomie et de participer à l’aménagement d’un environnement sain, éthique, écologiquement stable et productif, pour nous et nos enfants. 
En appliquant les principes observés en permaculture, on reproduit la diversité, la stabilité, l’autosuffisance et la résilience des écosystèmes naturels pour répondre à nos besoins fondamentaux (boire, se nourrir, se loger, se chauffer, s’habiller, vivre en communauté).
Une conception en permaculture intègre savoirs traditionnels anciens, expérimentations et connaissances scientifiques modernes (écologie, agroforesterie, mycorestauration, jardinage biologique, habitations écologiques, etc.).
Elle vise à préserver et renforcer les écosystèmes (la nature et les hommes), tout en produisant de l’abondance, tant agricole que culturelle.
*terres agricoles, jardins publics, potagers, écosystèmes naturels, lieux de vie, communautés, etc.

“Bien que les problèmes du monde soient de plus en plus 

complexes, les solutions restent honteusement simples..”
Bill Mollison

 

 

Salon des vins oubliés

Salon des vins oubliés dans Trieves vignes et vignerons affiche-salon-vvt-a3-0413_page_3

Notre association Vignes et Vignerons du Trièves organise sa deuxième édition du Salon des vins et vignobles oubliés de l’Arc Alpin.

Cette manifestation aura lieu dans le centre historique de Mens sous la halle le dimanche 26 mai 2013 à partir de 9h30.

Des vignerons viendront vous présenter leurs vins dont certains sont issus de cépages rares. Cette dynamique accompagnée par le CAAPG (Centre d’Ampélographie Alpine Pierre Galet) a pour but de réimplanter la culture de cépages rares et oubliés. Certains de ces cépages sont déjà en production, d’autres sont en expérimentation, d’autres encore viennent seulement d’être repérés dans de vieilles vignes. Un travail de recherches archéologiques dans les vignes est effectué régulièrement pour retrouver les cépages cultivés avant le phyloxéra. Dans ce cadre, la mise en place de conservatoires est prévue afin de sauvegarder l’ensemble des cépages de l’Arc Alpin, quelques 150 variétés différentes ont déjà été identifiées.

Le réseau des vignobles et cépages rares de la Région Rhône Alpes a la volonté également, à travers plusieurs structures associatives, de sauvegarder la surface viticole de leur territoire et de maintenir en culture les cépages autochtones d’une région. C’est par exemple, les expériences de l’ARDVCG dans les coteaux du Gier à côté de Givors, mais également de l’association des vignes de Tarentaise à Aime, de l’office du tourisme de Dessaigne en Ardêche, de l’association SOLID’Art en Maurienne ou encore de notre association Vignes et Vignerons du Trièves en Sud-Isère …

Ce sera l’occasion de rencontrer et d’échanger avec des vignerons qui les cultivent et peut-être de déguster et de découvrir un de ces cépages inconnus du grand public.

Programme

8h00 à 9h30          Accueil des vignerons

10h00 à 18h00       Salon des vins avec les producteurs et partenaires

10h00 à 11h00       Conférence présentation de la démarche de VVT

11h00 à 12h00       Film – Le raisin de la fleur à la baie

14h00 à 15h00       Film – Science et vin un nouveau pacte

15h00 à 16h30       Conférence cépages oubliés

10h00 à 18h00       Exposition (vins Isère – photos E Breteau – autres…)

Moments musicaux tout le long de la journée

Nous espérons vous voir nombreux, à bientôt !

Pour en savoir plus sur VVT

http://vignerons-trieves.com/

https://www.facebook.com/VigneronsTrieves

Le choc de simplification…

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Un choc de simplification administrative nous promet Tonton Hollande. Y’a du boulot mon gars ! Voiçi ce qu’il a fallu faire pour créer la  SAS Centrales Villageoises du Trièves :

 Réunion de toutes les informations liées aux souscripteurs

  • Remplir le tableau complet des informations sur les souscripteurs (voir modèle en ANNEXE 2).
  • Réunir notamment un justificatif de domicile et une copie de pièce d’identité pour chaque souscripteur.

Dépôt des chèques dans une banque

  • Prendre rendez-vous avec une banque
  • Déposer les chèques de souscriptions, accompagnés du projet de statuts, du tableau complet sur les souscripteurs, de tous les justificatifs de domiciles et copies de pièces d’identité (voir étape 4). Cette opération est réalisée par le président (article le précisant dans les statuts).
  • Récupérer deux certificats de dépôt des chèques quelques jours après (au maximum 7 jours)
  • Inscrire le nom de la banque et la date d’obtention du certificat de dépôt dans les statuts (« Article 6-Apports » des statuts).

 Deuxième rencontre des souscripteurs : signature des statuts1

  • Signatures (et paraphes) des statuts en 6 exemplaires par les souscripteurs
    • directement dans les statuts pour les souscripteurs présents
    • par l’intermédiaire d’une procuration pour les autres.  Dans ce cas,  il faut mentionner (en plus de la procuration) dans le début des statuts lors de l’énumération des soussignés : « M Untel, né le …., habitant à…, et ayant donné tout pouvoir à M …., né le …, résidant à…pour la signature des présents statuts. ».
    • cas particulier :
      il est possible que les souscripteurs donnent tout pouvoir au président pour signer les statuts. Dans ce cas, une procuration par actionnaire est nécessaire. De plus, il faut mentionner dans le début des statuts lors de l’énumération des soussignés « Les soussignés, (…) ayant donné pouvoir à  M. (Nom Prénom Président) pour la signature des statuts. »
  • Dater les statuts : date postérieure à la date de réception du certificat de dépôt de la banque.

Publier une annonce dans un journal d’annonces légales

  • Vérifier auprès du CFE référent la liste des informations à fournir dans l’annonce.
  • Choisir un journal.
  • Publier une annonce donnant toutes les informations requises sur la constitution de la nouvelle société. Le coût de l’annonce dépend du nombre de mots : sans oublier les informations devant obligatoirement être mentionnées, il faut essayer d’être le plus concis possible. Une proposition de rédaction est faite en ANNEXE 3. Le coût devrait être voisin de 250 €.

 Réunion de toutes les informations liées au président

  • Préparer une attestation sur l’honneur de non condamnation et une attestation de filiation (avec les noms et prénoms des parents) (voir modèle ANNEXE 4).
  • Préparer une copie de pièce d’identité
  • Si le siège social est basé chez le Président, préparer un justificatif de domicile et une attestation du Président certifiant que son domicile hébergera le siège social de la SAS (voir modèle ANNEXE 5).

 Réunion  des informations liées au siège social

  • Si le siège social est établi dans une mairie, obtenir une délibération du conseil municipal permettant au Maire de signer une attestation de domiciliation
  • Si le siège social est basé chez le Président, préparer un justificatif de domicile et une attestation de domiciliation signée par le Président (voir étape 7 et ANNEXE 5)
  • Déclarer l’adresse de domiciliation de la SAS à la Poste et mettre le nom de la société sur la boîte aux lettres correspondante

 [1] : Les rencontres des souscripteurs de l’étape 3 et de l’étape 6 peuvent être combinées en une seule rencontre organisée avant la réunion de toutes les informations liées aux souscripteurs (étape 4).
Attention dans ce cas à ne dater les statuts qu’après l’obtention du certificat de dépôt des chèques à la banque (date qui doit en effet être postérieure à l’obtention de ce certificat) (étape 5).

Dépôt des statuts au centre des impôts

  • Identifier le centre des impôts référent (en lien avec le siège de la société)
  • Quatre exemplaires des statuts signés et paraphés sont envoyés ou déposés au centre des impôts. Cette opération est réalisée par le président (article le précisant dans les statuts).

 Préparation du dossier au CFE

S’assurer que toutes les pièces suivantes sont complètes :

  • 2 exemplaires originaux des statuts paraphés et signés (par chaque associé ou par le mandataire) ainsi que les originaux des procurations et les photocopies des pièces d’identité le cas échéant
  • 2 exemplaires originaux du certificat de dépôt des fonds (à récupérer lors des dépôts à la Banque), accompagnés de la liste des souscripteurs mentionnant le nombre d’actionssouscrites et les sommes versées par chacun d’eux (voir ANNEXE 2)
  • (en général 2 exemplaires de l’acte de nomination du Président : ici pas nécessaire dans la mesure où celui-ci est nommé dans les statuts)
  • Une pièce justifiant de l’occupation régulière des locaux du siège social (bail, facture EDF ou téléphone) et une attestation de domiciliation
  • Un formulaire CERFA M0 (en 3 exemplaires) rempli et signé par le représentant légal de la société (possibilité de saisir en ligne à cette adresse : https://www.formulaires.modernisation.gouv.fr/gf/cerfa_13959.do)
  • Un pouvoir du représentant légal de la société s’il n’a pas lui même signé le formulaire M0
  • Pour le Président  produire une photocopie de pièce d’identité recto verso
  • Pour le Président, une attestation sur l’honneur de non condamnation et une attestation de filiation (avec les noms et prénoms des parents).
  • Une copie de l’attestation de parution dans le journal d’annonces légales où a été publié l’avis de constitution de la société ou une copie de la page du journal comportant l’annonce
  • En cas de nomination d’un commissaire aux comptes, produire une justification de leur inscription sur la liste officielle des commissaires aux comptes si celle-ci n’est pas encore publiée, ainsi que la lettre d’acceptation de leur désignation.
  • Un chèque de 83,96€ (montant à vérifier) à l’ordre du Greffe du Tribunal de commerce référent

 Dépôt au CFE et immatriculation

  • Identifier le CFE référent (en lien avec le siège social de la société)
  • Déposer le dossier au CFE (sans prise de rendez-vous et en se munissant d’une pièce d’identité) et vérifier l’ensemble des éléments du dossier avec le
    CFE (si possible). Cette opération est réalisée par le président (article le précisant dans les statuts). Le CFE envoie un document confirmant la saisie de
    l’ensemble des informations sous quelques jours. Ce document contient un numéro de liaison.
  • L’avancée du l’instruction peut être visualisée sur le site web du greffe qui instruit le dossier en saisissant le numéro de liaison du projet
  • Il est possible de récupérer le KBis sur le site http://www.infogreffe.fr/infogreffe/index.jsp, quelques jours après l’instruction. Dans tous les cas, le Kbis est envoyé au siège de la société par courrier sous 15 jours.

OUF

Mais le résultat est là => Les Centrales Villageoises du Trièves

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